Une « revenante » du groupe État islamique condamnée à 12 ans de réclusion

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Une « revenante » du groupe État islamique (EI), qui était jugée à Paris pour deux séjours en Syrie entre 2013 et 2017 entrecoupés de multiples tentatives de départ, a été condamnée ce mercredi soir 1er mars à douze ans de réclusion criminelle. Une peine assortie de peine d’une période de sûreté des deux tiers.

Une femme dans le camp d’al-Hol dirigé par les Kurdes, dans le nord-est de la Syrie, le 20 février 2021. (photo d’illustration)

Une femme dans le camp d’al-Hol dirigé par les Kurdes, dans le nord-est de la Syrie, le 20 février 2021. (photo d’illustration)© Delil Souleimain/AFP

Douha Mounib était jugée depuis lundi pour association de malfaiteurs terroriste (AMT) criminelle. Elle avait effectué entre 2013 et 2017 deux séjours en Syrie, entrecoupés de multiples tentatives de départ.

Elle a été condamnée ce mercredi soir 1er mars à douze ans de réclusion criminelle. Une peine assortie de peine d’une période de sûreté des deux tiers.

Le parquet national antiterroriste (Pnat) avait requis quatorze ans de réclusion, dont deux tiers de sûreté, à l’encontre de l’accusée de 32 ans. Celle-ci a reconnu à l’audience « la globalité » des faits, assurant que l’État islamique c’était du  passé .

Une « revenante » du groupe État islamique (EI), qui était jugée à Paris pour deux séjours en Syrie entre 2013 et 2017 entrecoupés de multiples tentatives de départ, a été condamnée ce mercredi soir 1er mars à douze ans de réclusion criminelle. Une peine assortie de peine d’une période de sûreté des deux tiers.

Une femme dans le camp d’al-Hol dirigé par les Kurdes, dans le nord-est de la Syrie, le 20 février 2021. (photo d’illustration)© Delil Souleimain/AFP

Douha Mounib était jugée depuis lundi pour association de malfaiteurs terroriste (AMT) criminelle. Elle avait effectué entre 2013 et 2017 deux séjours en Syrie, entrecoupés de multiples tentatives de départ.

Elle a été condamnée ce mercredi soir 1er mars à douze ans de réclusion criminelle. Une peine assortie de peine d’une période de sûreté des deux tiers.

Le parquet national antiterroriste (Pnat) avait requis quatorze ans de réclusion, dont deux tiers de sûreté, à l’encontre de l’accusée de 32 ans. Celle-ci a reconnu à l’audience « la globalité » des faits, assurant que l’État islamique c’était du  passé

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