« C’est la zone, aujourd’hui, où on a le plus de vulnérabilité, où les populations sont vraiment dans le besoin, dans le dénuement total, avec des personnes déplacées, où les besoins sociaux sont énormes. Donc ce programme que nous avons lancé vise à doter ces populations de centres de santé, d’écoles et le plus important : de points d’eau », détaille Mikailou Sidibé, le chef du département infrastructures du G5 sahel.
D’autres actions sont également prévues. Elles seront déterminées après concertations avec les populations. Pour Patrick Berg qui coordonne la fondation Sahel, il faut insister sur l’implication des bénéficiaires : « On va organiser des appels à proposition pour demander, les ONG avec les administrations locales, de proposer des projets que la population sur place trouve prioritaires. »
Le représentant de la coopération allemande a réaffirmé la détermination de son pays à consolider son soutien à la paix au Sahel.