
AP- Le groupe a déclaré dans un communiqué publié sur ses canaux de propagande que les attaques « simultanées » ont été menées par les « moudjahidines » du JNIM contre les « tyrans maliens ».
« S’ils répandent la terreur contre les musulmans opprimés et si Dieu le veut, nous plongerons leurs villes et villages dans la terreur et la crainte. Ils n’auront de cesse de retourner à Dieu et de retirer leurs mains des musulmans », a prévenu le groupe terroriste.
Les attaques ont été menées lundi contre un poste de péage à Kassela et une caserne de pompiers à Markakongo dans la région de Koulikoro, comme l’ont rapporté les médias locaux.
Le Mali et les autres pays du Sahel ont connu une recrudescence de la violence, qu’il s’agisse de la violence djihadiste aux mains de groupes liés à Al-Qaïda et à l’État islamique, ou de la violence intercommunautaire, ce qui a incité la France et les pays du G5 Sahel – Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger et Tchad – à intensifier leurs opérations.