
Nul doute, que le régime des séniles d’Alger qui n’a de cesse d’intensifier dernièrement sa rhétorique guerrière à l’égard du Maroc est en train d’opter pour la solution militaire. En effet, il n’est pas un jour où l’on n’assiste pas à une hostilité qui ne puisse s’apparenter à une préparation psychologique à l’aventure militaire.
Entre déclarations officielles et publications dans les médias caressant dans le sens du poil un régime en déperdition, toutes hostiles au Maroc ou s’apparentant à des menaces, le régime algérien mène une offensive sur plusieurs fronts. Sur le front diplomatique, c’est le secrétaire général du ministère algérien des Affaires étrangères, Amar Belani, qui cherche à remplacer l’actuel chef de la diplomatie Ramtane Lamamra, qui mène une série de rencontres avec des officiels étrangers.
Au lieu que ces rencontres bilatérales se passent avec Lamamra, en Algérie, contrairement à toute logique, c’est le SG du ministère qui conduit les réunions dont certaines connaissent la participation de délégations.
La dernière initiative d’Alger a été d’attirer l’attention de la France et à la Chine à se méfier et de se protéger du Maroc. C’est d’ailleurs dans cette optique qu’Amar Belani a reçu, mercredi dernier, l’ambassadeur de la République populaire de Chine en Algérie, Li Jian.
Pour ce qui est du Sahara marocain, le bouffon algérien, n’a pas hésité à faire part au représentant chinois de ses affabulations, en affirmant que le blocage du processus de négociations reviendrait « essentiellement aux atermoiements de la partie marocaine », alors qu’il est évident pour tous, notamment pour la Chine qui fait partie du Conseil de sécurité, que c’est l’Algérie qui a refusé de reprendre les tables rondes comme le lui a intimé le Conseil