Le président algérien a accusé indirectement le Maroc d’être responsable d’enlèvements de diplomates algériens au Mali. Le régime algérien qui ne sait plus où donner de la tête, continue ses accusations graves et non étayées envers le Royaume.
Après avoir accusé le Maroc d’avoir provoqué les incendies en Kabylie, une accusation grotesque qui a valu à l’Algérie des moqueries internationales, et après avoir accusé le Maroc d’avoir tué 3 camionneurs au Sahara sans en apporter de preuves et sans saisir les Nations Unis, et, encore avoir accusé le Maroc d’avoir créé une alliance avec Israël dans le but de l’attaquer, toujours sans preuves, l’Algérie revient avec une nouvelle accusation et non des moindres.
Depuis la mise à l’écart du chef de la diplomatie algérienne, Ramtane Lamamra qui agissait quelque peu comme un garde-fous, le président algérien Abdelmadjid Tebboune, est en roue libre dans sa folie furieuse anti-Maroc. Ses sorties médiatiques qui se contredisent et ses mensonges témoignant de mauvaise foi, continuent d’être diffusés sans aucun contrôle de fake news, profitant du silence sage et serein du Royaume, qui ignore et ne répond pas aux provocations algériennes.
« La première victime de l’instabilité (au Mali) c’est l’Algérie », a-t-il déclaré dans un entretien accordé à Al Jazeera Podcast alors que l’Algérie ouvre ses frontières et protège les chefs de groupes extrémistes terroristes, qui utilisent le sud du pays comme base arrière en sortant du nord du Mali, comme les djihadistes algériens Yahia Djouadi et Abdelmalek Droukdel ou encore le malien Iyad Ag Ghali.