La maladie du Congo est une zoonose. La transmission à l’humain de cette fièvre hémorragique se produit « soit par les piqûres de tiques, soit par contact avec du sang ou des tissus d’animaux infectés, pendant ou immédiatement après l’abattage », selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Les cas se retrouvent en majorité chez des personnes travaillant dans le secteur de l’élevage, chez les exploitants agricoles, les employés des abattoirs ou les vétérinaires, indique une fiche technique du ministère sénégalais de la Santé.
Entre humains, la transmission de la maladie « peut survenir à la suite d’un contact direct avec du sang, des sécrétions, des organes ou des liquides biologiques de sujets infectés », selon l’OMS. Le virus de cette fièvre hémorragique provoque la mort dans 10 à 40% des cas